Les fractures vertébrales peuvent être découvertes à la suite d’examens d’imagerie diagnostique effectués pour d’autres raisons médicales (par exemple, des radiographies de la poitrine, des radiographies de la colonne lombaire, une tomodensitométrie de la poitrine ou de l’abdomen, un IRM de la poitrine ou de l’abdomen). Pour autant que les radiologistes d’un établissement s’entendent sur l’utilisation d’une terminologie uniforme, les fractures de cette nature peuvent normalement être facilement détectées en balayant les rapports de visualisation diagnostique pour repérer les termes convenus. On devrait accorder la plus grande importance aux fractures de grade II (26 à 40 %) et de grade III (> 40 %), classées selon la méthode d’analyse semi-quantitative de Genant. OC et l’Association canadienne des radiologistes travaillent actuellement à l’établissement d’une terminologie uniforme; nous mettrons ces recommandations à jour dès que cette terminologie sera publiée.
Il est important d’essayer de déterminer si une fracture vertébrale constatée par radiographie est bel et bien causée par une fragilité. Puisqu’une fois qu’elle se produit, la fracture vertébrale est visible en permanence sur les radiographies, il est important d’obtenir les antécédents de traumatismes majeurs qui pourraient l’expliquer. Certains patients pourraient déjà être au courant d’une fracture vertébrale causée par un traumatisme lié à un impact important antérieur ou pourraient être en mesure de vous fournir des renseignements sur un traumatisme causé par un impact majeur grave qu’ils ont subi et qui aurait causé une fracture (par exemple, un patient ayant subi un grave accident de véhicule à moteur accompagné de douleurs lombaires l’ayant cloué au lit pendant deux semaines au cours desquelles aucune radiographie n’a été prise ou n’était disponible). Si les renseignements obtenus sont ambigus, il pourrait être nécessaire de référer le patient à un spécialiste de l’ostéoporose.
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Analyses sanguines conformes aux lignes directrices de 2010 d’OC : calcémie corrigée en fonction de l’albumine ou du calcium ionisé, formule sanguine complète, créatinine ou R-EGF, phosphatase alcaline, thyréostimuline (TSH). Pour les patients présentant une fracture vertébrale : électrophorèse des protéines sériques. Il est recommandé d’effectuer un test du taux de vitamine D de 3 à 4 mois après que la dose adéquate de vitamine D a été initiée.
Le cadre de meilleures pratiques de l’IOF indique que l’on devrait vérifier la présence de fractures vertébrales chez tous les patients présentant n’importe quel type de fracture de fragilité. Des vues latérales de la colonne thoracique et de la colonne lombaire sont requises, soit par radiographie traditionnelle ou, là où cette technique est disponible, par évaluation des fractures vertébrales par absorptiométrie à rayons X en double énergie (DXA). Si la fracture initiale est de nature vertébrale, il est important d’effectuer une imagerie de la colonne en entier (p. ex. si l’on décèle une fracture T10 à la radiographie latérale de la poitrine, il est alors indiqué d’effectuer une radiographie latérale de la colonne lombaire).
Supplémentation en vitamine D : OC recommande une supplémentation en vitamine D de 800 à 2000 IU par jour pour les personnes de 50 ans et plus.
Traitements de première intention avérés aptes à prévenir les fratures chez les femmes postménopausées
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Traitements de première intention avérés aptes à prévenir les fratures chez les femmes postménopausées
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Il est important d’essayer de déterminer si une fracture vertébrale constatée par radiographie est bel et bien causée par une fragilité. Puisqu’une fois qu’elle se produit, la fracture vertébrale est visible en permanence sur les radiographies, il est important d’obtenir les antécédents de traumatismes majeurs qui pourraient l’expliquer. Certains patients pourraient déjà être au courant d’une fracture vertébrale causée par un traumatisme lié à un impact important antérieur ou pourraient être en mesure de vous fournir des renseignements sur un traumatisme causé par un impact majeur grave qu’ils ont subi et qui aurait causé une fracture (par exemple, un patient ayant subi un grave accident de véhicule à moteur accompagné de douleurs lombaires l’ayant cloué au lit pendant deux semaines au cours desquelles aucune radiographie n’a été prise ou n’était disponible). Si les renseignements obtenus sont ambigus, il pourrait être nécessaire de référer le patient à un spécialiste de l’ostéoporose.
Traitements de première intention avérés aptes à prévenir les fratures chez les femmes postménopausées
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Lorsqu’une fracture vertébrale se produit, elle reste visible en permanence sur les radiographies. Si l’on radiographie une région du corps pour la première fois, alors la fracture apparaissant sur la radiographie est indéterminée dans le temps (elle pourrait s’être produite il y a 20 ans ou hier). Lorsqu’aucune radiographie antérieure n’est disponible et qu’aucun antécédent médical ne permet de déterminer à quel moment le patient a subi cette fracture vertébrale, il n’existe alors aucune méthode simple de détermination du moment exact de la fracture. Dans ce protocole, ces fractures d’âge indéterminé sont présumées être de vieilles fractures qui se sont produites avant l’avènement du traitement contre l’ostéoporose, à moins d’indication contraire.
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